Le diman­che 27 février a eu lieu au Ciné Burkina, la céré­mo­nie d’ouver­ture pro­fes­sion­nelle. Cette céré­mo­nie consa­cre l’ouver­ture des com­pé­ti­tions. Cette année, c’est le film du béni­nois Sylvestre Amoussou qui a été pro­jeté. Ce film traite de la cor­rup­tion, une pan­dé­mie en Afrique.

Devant l’entrée du Ciné Burkina, un tapis rouge est dressé. Les acteurs, réa­li­sa­teurs et équipes tech­ni­ques devaient passer sur ce tapis et être ova­tion­nés par le public. Mais… Point de foule. Personne. Le public n’était pas au rendez-vous. Que s’est-il passé ? Lors de l’édition pré­cé­dente, le public était déjà absent.

Il faut que les orga­ni­sa­teurs revoient cette acti­vité, pour que le public fasse la fête aux cinéas­tes. Nos cinéas­tes tri­ment pour faire sortir des films. Ils méri­tent les applau­dis­se­ments du public.

Candide Étienne