Seul long-métrage d’Afrique en compétition de la 66e édition du Festival de Cannes, Grigris du tchadien Mahamat-Saleh Haroun a déçu les critiques mais pose les bases d’une nouvelle tentative cinématographique à travers le parcours d’un danseur handicapé.
Grigris (Souleymane Démé) vit avec sa mère et son mari (Marius Yelolo). Ses temps libres, il les partage entre le studio photo de son beau-père et la piste de danse des boîtes de nuit de N’Djamena. Car dans cet univers nocturne et festif, Grigris est au (...)